Premières retrouvailles : 19 novembre 2009
nos camarades: Cao phuc, Lavigne guy, Danzon marc, Vitrice henri
Le vendredi 29 juin 2012 au "QG". Photos fournies par Claude Borget.
Le vendredi 29 juin au "QG". Photos fournies par Jacqueline Touzac-Bonafoux.
Le vendredi 29 juin 2012 au "QG". Photos fournies par Maurice Foissac.
Le vendredi 29 juin 2012 au "QG". Photos fournies par Christian Pradelles.
Le vendredi 29 juin 2012 au "QG". Photos fournies par Jean-Claude Picard.
désolée, j'ai oublié de prendre des photos.........
nous nous sommes retrouvés au "Le Grand Vatel" à Auzeville, nous étions 14 de la classe de 4ième1
(1960 -1961 )
3 nouveaux , jean escourrou, jacques Marti ( et son épouse) , georges Vassilieff. ont rejoint le groupe. claire- marie Mazure était présente ainsi que henri Vitice, phuc Cao, jean-louis Beaufort, gérard Maire, jacky Bedos alain Auger et daniel Hernandez.
guy Lavigne, gabriel Daujam, marc Danzon, michèle Sainte- Marie se sont excusés de ne pas être avec nous.
Tous ont été ravis de se retrouver et d'avoir pu échanger des souvenirs...........
aux prochaines retrouvailles .......avec de nouvelles têtes.......
jacqueline Bonafoux( ex Touzac)
Nous étions 12, dans une surface réduite. Bedos, Touzac, Foissac, Kayser, Borget, Joyeux, Bonnet, Danzon, Beaufort et Madame, et surprise de cerise sur le gâteau: Jean-Claude Maurice qui revenait de l'Isle-Jourdain et Charles de Pindray de Marie-Galante.
Un menu sympa, simple, diététique, savoureux .
Bien sûr, comme toujours des souvenirs, des anecdotes, des histoires, des vraies, des moins vraies, des carrément fantasmées. Bref un moment de joie, de madeleines de Proust, d'univers ressuscités à la seule sonorité d'un nom propre ou commun, peu importe, pourvu qu'il soit bourré de nostalgie.
Il y eut beaucoup de mots. D'ailleurs Marc Danzon en a tiré un bouquin"Le révélateur "chez l'Harmattan, dont je me permets de faire la pub, parce qu'il relate avec talent des aventures bellevusiennes que vous avez vécues, peut-être oubliées et que vous revivrez avec plaisir et émotion comme j'ai pu le faire moi-même, bien que je n'aie jamais été dans la même classe que Marc. Bizarre, pourtant, nous avons fantasmé sur les mêmes filles! ( pour plus de détails, reportez-vous à l'oeuvre originale!)
Nous avons terminé l'après-midi sur les quais de la Garonne, où Maurice nous a fait un magistral cours d'histoire toulousaine, non sans s'interrompre de temps en temps pour nous ramener dans ses filets de bonimenteur, un jeune couple allemand, ou trois lycéennes en goguette, et même une Ukrainienne qui ressemblait à s'y méprendre à Ioula Timochenko et qui a démarré une manif anti-Poutine.
Dispersion des troupes vers 16h 45, non sans promesses de se revoir rapidement, car la roue tourne et croyez-moi:
Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain:
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie!
Au fait! Hélène n'était pas là! Pauvre Ronsard!
Mais Jacqueline, talentueuse chasseuse de têtes, nous en a promis de nouvelles pour les prochaines retrouvailles, dont nous reverrons peut-être la formule pour permettre aux plus éloignés de nous rejoindre plus facilement.
Si l'envie vous prend d'écrire vos impressions, de vous épancher ou de protester, faites le nous savoir!
Claude Borget.
Vous reconnaîtrez : Augier, Beaufort, Bourdarias, Bouchard, Foissac, Kayser, Maurice, Pradelles, Vassilieff
Pas visibles :Georges Gardelle qui s’est placé du mauvais coté de l’opératrice Jacqueline Bonafoux que nous remercions pour ses photos.
Il y avait une grande animation ce matin du jeudi 26 mai 2016, au château de Pinsaguel, où notre camarade Jean-Louis Coll nous avait donné rendez-vous entre 11h et midi. Il n'en manquait pas, pas une! Ils étaient venus de toute la France! La plupart de Toulouse et des environs bien sûr, mais à signaler un déplacement de Gardanne, un du Berry, un d'Orthez, quelques -uns des Pyrénées voisines et même un d'Aucamville!
Il faut dire que la manifestation était présidée par Monsieur le maire de Pinsaguel,lui-même, exerçant son deuxième mandat, j'ai nommé Jean-Louis Coll. Pour ceux qui n'ont pas une mémoire d'éléphant comme moi, c'est le petit gars qui avait chanté
Quand arrive le samedi,
sans foutre de vernis,
ni faire de toilette,
nous partons au galop,
avec nos costauds,
dans un bal musette,
où nous nous retrouvons
rien qu'entre mectons
et vraies gigolettes
deux par deux on tourne, on tourne, et on
fredonne au son de l'accordéon
Qu'est-ce qui dégote
le fox-trotte
et même le chimi
les pas english,
la scottish
et tout c'qui s'en suit.
C'est la java,
la vielle masurcha
du vieux sébasto
T'es ma nenesse,
tu es ma gonzesse
je suis ton julot.
Tout contre moi
serre toi,
bien fort dans mes bras
je te suivrais
je ferais ce que tu voudras.
Quand je te prends
dans mon cœur je sens
comme un vertigo,
t'aimes ma casquette,
mes deux rouflaquettes
et mon bout d'mégot.
Mais, boul'vard Saint Germain,
les gens du gratin,
ils ont pas de principe.
dès que les purotins
ont quelqu'chose de bien
y faut qu'ils leur chippent.
A présent les mondains
essayent mais en vain
de copier nos types
et les poules de luxe dans les salons
chantent en se pavant à leurs michtrons.
Qu'est-ce qui dégote
le fox-trotte
et même le chimi
les pas english,
la scottish
et tout c'qui s'en suit.
C'est la java,
la vielle masurcha
du vieux sébasto
T'es ma nenesse,
tu es ma gonzesse
je suis ton julot.
Tout contre moi
serre toi,
bien fort dans mes bras
je te suivrais
je ferais ce que tu voudras.
Quand je te prends
dans mon cœur je sens
comme un vertigo,
t'aimes ma casquette,
mes deux rouflaquettes
et mon bout d'mégot.
Quand je te prends
dans mon cœur je sens
comme un vertigo,
t'aimes ma casquette,
mes deux rouflaquettes
et mon bout d'mégot.
un soir de fête du foyer au bâtiment des P1. L'animal a été incapable de me dire le nom de son comparse qui est pourtant bien présent dans ma mémoire visuelle. Tout ça pour rappeler quand même que la censure en ce temps-là commençait à relâcher l'étreinte de l'acier de ses lames de ciseaux. Bref, pour les filles, je signale que cette anecdote montre bien qu'après leur départ, l'internat se chauffait à blanc, même avec des garçons qui remplaçaient les filles, comme dans les séquences de spectacle des meilleurs films de guerre à l'intention des troupes fatiguées. On faisait avec ce qu'on avait! Tiens! A propos de soldats, voici le texte de la deuxième chanson interprétée par Coll et son acolyte!
Moi , j'vous l'dis!: ça avait d'la gueule!
Quelques tables rapidement dressées dans la cour d'honneur du château et hop, voilà nos 36 convives attablés, autour d'une assiette de crudités, et d'une paëlla, sans oublier les cubis de rouge et de rosé, à l'ombre bien sûr!
Les anciennes classes ont vite été reconstituées (j'ai compté une classe de 5 ou 6 élèves: Saint-Genès, Bouissou, Roquejoffre, Picard et......?).
Après le repas, Monsieur le Maire nous a fait un brillant exposé sur le site de la confluence de l'Ariège et de la Garonne et l'historique du château et de ses
habitants. Vous retrouverez l'essentiel de ses propos sur
http://www.confluences-garonne-ariege.org
et sur
http://www.mairie-pinsaguel.com/le-chateau-bertier-patrimoine-historique-554.html
Nous avons repéré au cours de la visite une ancienne cuisine qui pourrait bien devenir le siège de l'amicale des anciens de Bellevue!
A noter que deux de nos camarades ont édité leur dernier ouvrage:
Les premières fois de Toulouse pour Maurice Foissac
http://www.cepadues.com/auteur/foissac-maurice/774.html
et
Notre santé dans l'arène politique mondiale pour Marc Danzon
Que le maître de cérémonie, Jean-Louis Coll, soit grandement remercié pour son investissement dans l'organisation et la réussite de cette journée: il a pris congé de nous, à cause de quelques tâches municipales qu'il lui restait à accomplir et nous avons fait le serment de nous retrouver l'an prochain au lycée, pour permettre à la dizaine d'excusé(e)s de revivre ces moments si particuliers où sont ressuscitées pour quelques heures les valeurs de Bellevue.
photos prises par j.-c Picard